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Après avoir bouleversé la donne aux Etats-Unis, gaz et pétrole de schiste commencent à modifier le paysage énergétique mondial, avec des effets de plus en plus visibles même si leurs ramifications sont encore incertaines.
Un des exemples les plus frappants est que le charbon américain, désormais boudé par les électriciens locaux qui préfèrent utiliser du gaz de schiste meilleur marché, est du coup exporté à bas prix en Europe et en Asie.
Cela relance l'attrait des centrales électriques à charbon sur le Vieux continent, au détriment des centrales à gaz et malgré des émissions de CO2 accrues.
En outre, les professionnels du secteur s'attendent à ce que du gaz américain commence à être exporté d'ici quelques années en Asie et en Europe, sous forme de gaz naturel liquéfié (GNL).
« Trois projets de terminaux d'exportation (plus un 4e ce mois-ci, ndlr) ont déjà reçu les autorisations nécessaires (...) et en 2016, du GNL commencera à être exporté, ce qui modifiera les relations entre les marchés du gaz » de chaque continent, a souligné Tim Gould, analyste de l'Agence internationale de l'énergie, lors d'une conférence début septembre.
« Les Etats-Unis n'exporteront pas massivement de gaz, car ils chercheront à maintenir un niveau de prix domestique le plus bas possible, mais il y aura sans doute à terme plus d'une dizaine de terminaux d'exportation tournés vers l'Europe et l'Asie », prédit de son côté Jérôme Ferrier, président de l'Union internationale du gaz.
sources: l'expression
Un des exemples les plus frappants est que le charbon américain, désormais boudé par les électriciens locaux qui préfèrent utiliser du gaz de schiste meilleur marché, est du coup exporté à bas prix en Europe et en Asie.
Cela relance l'attrait des centrales électriques à charbon sur le Vieux continent, au détriment des centrales à gaz et malgré des émissions de CO2 accrues.
En outre, les professionnels du secteur s'attendent à ce que du gaz américain commence à être exporté d'ici quelques années en Asie et en Europe, sous forme de gaz naturel liquéfié (GNL).
« Trois projets de terminaux d'exportation (plus un 4e ce mois-ci, ndlr) ont déjà reçu les autorisations nécessaires (...) et en 2016, du GNL commencera à être exporté, ce qui modifiera les relations entre les marchés du gaz » de chaque continent, a souligné Tim Gould, analyste de l'Agence internationale de l'énergie, lors d'une conférence début septembre.
« Les Etats-Unis n'exporteront pas massivement de gaz, car ils chercheront à maintenir un niveau de prix domestique le plus bas possible, mais il y aura sans doute à terme plus d'une dizaine de terminaux d'exportation tournés vers l'Europe et l'Asie », prédit de son côté Jérôme Ferrier, président de l'Union internationale du gaz.
sources: l'expression
Leni wistiti